La Grue du Canada est un oiseau de très grande taille, au corps assez trapu, avec de longues pattes et un long cou. C'est la grue la plus commune en Amérique du Nord. Elle est légèrement plus petite que notre Grue cendrée. La taille varie suivant la sous-espèce. La touffe de plumes bouffantes qui recouvre sa queue lui donne une silhouette caractéristique de grue, ce qui permet de la distinguer du Grand Héron, même de loin. Mâle et femelle sont semblables. Chez l'adulte, le plumage est gris uniforme, souvent taché ... lire la suite (Rédigé par Régine Le Courtois Nivart)
La Gorgebleue à miroir est comparable au Rougegorge familier en taille et en silhouette. Mais chez elle, il y a un grand dimorphisme sexuel. Seuls les juvéniles se ressemblent. Par ailleurs, elle est beaucoup moins commune que lui et, grande migratrice, n'est présente qu'à la belle saison. L'espèce possède plus d'une dizaine de sous-espèces qui diffèrent essentiellement par l'aspect de la poitrine du mâle nuptial et de la couleur du miroir qui a donné son nom à l'espèce. Vu de face, il se reconnait tout de ... lire la suite (Rédigé par Jean François)
Le Guêpier d'Europe est un des oiseaux les plus remarquables de notre faune, remarquable par le plumage, remarquable aussi par la biologie. Il a la taille d'un étourneau mais sa silhouette est très différente. Perché sur un fil électrique comme le fait souvent l'étourneau, on dirait une grosse hirondelle du fait de sa longue queue. Le plumage de l'adulte est haut en couleur et le rend inconfondable sinon hors d'Europe avec d'autres espèces de guêpiers. Les sexes sont pratiquement semblables. Le mâle en vue ... lire la suite (Rédigé par Jean François)
par Jean FRANçOIS, aidé de Dominique MARQUES pour la finalisation à destination du forum. Avant-propos : Qui ne s’est jamais questionné sur l’identité d’un pouillot explorant activement et en silence le feuillage d’un ligneux en dehors de la période de reproduction ? Probablement peu d’entre nous. C’est pour aider à l’identification de nos deux pouillots communs, le véloce et le fitis, que ce papier a été conçu. Il est bien évident qu’en période de reproduction, ... lire la suite
(Un article de Jean François)
par Jean FRANçOIS, aidé de Dominique MARQUES pour la finalisation à destination du forum. Avant-propos : Distinguer les petites rousserolles n’est pas chose aisée, déjà chez nous à la belle saison, a fortiori lors de la migration ou en hivernage en Afrique. Leur aspect est semblable et les différences de plumage sont faibles. Heureusement, en période de reproduction, des éléments nous viennent en aide, la répartition, l’habitat qui donne une très bonne indication et les émissions vocales qui sont ... lire la suite
(Un article de Jean François)
par Jean FRANçOIS, aidé de Dominique MARQUES pour la finalisation à destination du forum. Identifier correctement ces deux pipits n’est pas très difficile pour peu que l’on s’attache à ce qui fait leur spécificité. C’est ainsi que j’aborderai successivement l’habitat, l’aspect de chacun, les critères de plumage et la voix. Par souci de simplicité, j’utiliserai les abréviations suivantes : Pda pour le Pipit des arbres et Pfa pour le Pipit farlouse. L'habitat Ce ... lire la suite
(Un article de Jean François)
Nb de documents | Nb et % d'espèces concernées | ||||
---|---|---|---|---|---|
Fiches | 3 264 | 3 264 | 29% | ||
Photos | 319 266 | 9 177 | 9 589 | 82% | 86% |
Dessins | 12 185 | 5 445 | 49% | ||
Sons | 165 136 | 10 419 | 93% |